Manuela Frey, mannequin et animatrice, s’approche, le sourire aux lèvres. Rayonnante, cette jeune femme de 26 ans connaît un succès international, tout en étant restée accessible et naturelle. Avec son manager, elle s’apprête à lancer sa propre agence de talents. Nous avons demandé à Manuela ce qui la préoccupe et quel rôle la prévoyance vieillesse joue pour elle.

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Vêtue d’un tailleur-pantalon élégant, Manuela Frey se tient devant une grande fenêtre panoramique.
Vêtue d’un tailleur-pantalon élégant, Manuela Frey se tient devant une grande fenêtre panoramique.
Vêtue d’un tailleur-pantalon élégant, Manuela Frey se tient devant une grande fenêtre panoramique.
Vêtue d’un tailleur-pantalon élégant, Manuela Frey se tient devant une grande fenêtre panoramique.

1.Quels sont tes projets en cours? Qu’est-ce qui te motive?

Actuellement, je travaille encore comme mannequin, activité qui me passionne. Mais ce n’est pas tout. Je suis en train de réaliser un rêve de longue date: cet automne, je vais fonder ma propre agence de talents avec mon manager.

Mes amis et mes connaissances me demandent souvent si j’ai quelqu’un à leur recommander. Il est vrai que je connais presque tout le monde en Suisse (rires). J’ai pensé que faire profiter les autres de mon réseau sous la forme d’une agence de talents serait une bonne idée commerciale. Mon manager a tout de suite été enthousiasmé par l’idée et nous sommes sur le point de nous lancer! Je me réjouis d’ores et déjà de cette nouvelle responsabilité. Je pourrai mettre à profit mes connaissances et mon expérience pour permettre à de jeunes talents de se faire un nom dans la branche.

2. De quoi es-tu fière en ce moment?

Je suis très fière d’avoir refusé une offre extrêmement lucrative aux Etats-Unis et de m’être installée à Zurich. Parfois, il faut savoir dire non, écouter son instinct et aller jusqu’au bout. Je suis contente d’avoir décliné, car je me sens de nouveau vraiment bien en Suisse. Je me réjouis de me consacrer à ma carrière de mannequin et à mon agence.

3. De quel événement à venir te réjouis-tu particulièrement?

Du lancement de notre agence, bien sûr. Je l’appelle affectueusement «notre bébé». Je suis impatiente de découvrir, soutenir et encourager de nombreux talents. Ça va être génial!

 

Manuela Frey est assise dans un café avec un ordinateur portable.
Manuela Frey est assise dans un café avec un ordinateur portable.

4. Qu’est-ce qui te distingue des autres?

Quand je prends quelque chose en main, je vais jusqu’au bout. Je ne fais pas les choses à moitié. Je me suis même fait tatouer «all the way» («jusqu’au bout»). Cela montre une fois de plus que je donne toujours le meilleur de moi-même et que je ne néglige rien.

En tant qu’indépendante, j’apprécie surtout de pouvoir organiser mes journées en toute liberté de choix. Il y a des semaines plus ou moins intenses, sachant que mon revenu dépend des jobs que j’accepte. Je n’ai pas de salaire qui tombe tous les 25 du mois, je dois organiser moi-même mes revenus. Il y a des mois bien meilleurs que d’autres, mais on s’y habitue! (rires)

Manuela Frey, vêtue d’un blazer marron et d’un pull à col roulé, fait signe à quelqu’un.
Manuela Frey, vêtue d’un blazer marron et d’un pull à col roulé, fait signe à quelqu’un.
Manuela Frey, vêtue d’un blazer marron et d’un pull à col roulé, regarde par la fenêtre.
Manuela Frey, vêtue d’un blazer marron et d’un pull à col roulé, regarde par la fenêtre.

5. Comment te protèges-tu en tant qu’indépendante?

J’ai un pilier 3a. Toi aussi? Je suis très heureuse de verser régulièrement le montant maximal dans mon pilier 3a et donc de me préoccuper de mon avenir financier. J’accorde déjà de l’importance à la prévoyance privée, même si l’heure de la retraite est très loin d’être venue. Cela me rassure de savoir que je peux penser à mon avenir en toute tranquillité.

6. Pourquoi le thème de la prévoyance est-il si important pour toi?

En tant que mannequin, on ne sait jamais quand sa carrière s’arrêtera. Etant indépendante, je ne cotise pas au deuxième pilier. Par conséquent, je veille à préparer ma retraite le plus judicieusement possible et à mettre de l’argent de côté dès maintenant.

7. Quand prendras-tu ta retraite? Le sais-tu déjà?

J’adore travailler, c’est pourquoi je souhaite continuer le plus longtemps possible; du moins tant que ma passion et mon énergie le permettront. Reste à savoir si je vais finir à 75 ou 80 ans. C’est ce que je déciderai selon le credo de Swiss Life, «en toute liberté de choix» (rires).

Quoi qu’il en soit, je me vois dans une maison au Tessin avec ma famille et mes enfants. Je vais donc devoir encore travailler un peu pour réaliser mon rêve.

8. Que recommandes-tu aux jeunes dans le domaine de la prévoyance?

Informez-vous bien et investissez judicieusement dans votre avenir. Si vous le pouvez, ne vous fixez pas de limites. Travailler dur est payant. En prenant la bonne direction suffisamment tôt, vous aurez moins de stress plus tard et pourrez profiter pleinement de la vie.

 

Manuela Frey dans une robe fleurie rose-orange à l’hôtel Greulich.
Manuela Frey dans une robe fleurie rose-orange à l’hôtel Greulich.
Manuela Frey dans une robe fleurie rose-orange à l’hôtel Greulich.
Manuela Frey dans une robe fleurie rose-orange à l’hôtel Greulich.
Manuela Frey s’appuie nonchalamment sur un vélo.
Manuela Frey s’appuie nonchalamment sur un vélo.
Manuela Frey fait du vélo en riant.
Manuela Frey fait du vélo en riant.

Photos: Philip Brand
Style: Donjeta Selmanaj, tenues: Jelmoli

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